La première partie de la 18e édition du Festival Electron a débuté le 22 avril dernier avec « l’exposition qui n’aura peut-être pas lieu » et qui a… finalement eu lieu! Pour sa deuxième partie, 48 shows sont prévus sous forme de Blind Date du 4 au 5 juin.
Blind date du 4 au 5 juin
Faîtes le test et trouvez votre match
(Réservé uniquement aux amoureux de musiques électroniques)
Pour la deuxième partie du Festival Electron, 48 shows de musique live, danse contemporaine et Arts Visuels sont au programme de deux soirées : le 4 et le 5 juin prochain.
C’est l’idée d’un rendez-vous culturel à l’aveugle; et croyez-nous, cela vaut plus qu’une Tinderella ou un Tinderello.
Au lieu de perdre son temps sur Bumble ou Hynge pour ne citer que les quelques concurrents de Tinder, connectez-vous au Matching Test du Festival Electron et faîtes le quizz.
- Choisissez votre horaire (vendredi ou samedi, 18h ou 20h)
- Cliquez ou swipez pour valider vos préférences
- Matchez avec un show mystère
- Validez votre match sur la billetterie* les yeux fermés
Il n’y aura que du live, dans des lieux insolites à moins de 30 minutes de Genève et une programmation tantôt hypnotique, tantôt électrique et 100% surprenante, audacieuse et pluridisciplinaire.
Prix du billet unique de 20.- CHF
L’Exposition qui a finalement eu lieu
Visitez l’exposition virtuelle
L’exposition présentée par le festival Electron cette année offre une collection de perspectives sur une année de crise sanitaire dans le milieu culturel en Suisse. Le tout orchestré par la géographe, curatrice pour l’Electron et amatrice de Dance Floor : Marie-Avril Berthet.
Initialement, cinq photographes – Mehdi Benkler, Rebecca Bowring, Anna-Tia Buss, Esther Fayant et Laurent Guiraud – devaient documenter la réouverture des clubs à l’été 2020.
Mais capturer l’euphorie d’un retour à la sociabilité en musique après le confinement s’est heurtée à la réalité des mesures sanitaires.
« Cette exposition n’est pas une représentation exhaustive du milieu culturel en Suisse. Si le point de départ en était les nightclubs à l’heure de la réouverture, les photographes ont étendu leurs explorations au fur et à mesure que les restrictions sanitaires perduraient. La force de ces photographies est d’exposer des lieux qui ont été soustraits à notre regard depuis leur fermeture et dont l’invisibilité grandit à force que le reste de nos vies reprend. Ces images montrent également les acteurs culturels dans des environnements dans lesquels la crise les a poussé.e.x.s, du plus domestique à l’espace public, dans des nightclubs trop grands et des bars trop calmes, dans la solitude et la réflexion. » Marie-Avril Berthet.
PS: Restez connecté pour les dernières parties du festival Electron cet été !