
Depuis le 23 septembre, Marion Motin est à l’affiche de l’Opéra Garnier. Elle rend hommage à son Père. Et si vous n’êtes pas de passage à Paris, allez-y tout de même le temps d’une soirée.
Est-ce nécessaire de vous présenter Marion Motin? La chorégraphie de Papaoutai de Stromae, c’est elle. Avec sa troupe « Swaggers », elles deviennent vice-championnes de France du concours de danse Hip Hop International. La rythmnique de Christine de Christine and the Queens, c’est elle aussi. Et j’en passe pour arriver à l’essentiel.
Marion Motin vient de faire ses premiers pas à l’Opéra Garnier de Paris. Et quels pas! Les pas de 16 danseurs qu’elle emporte dans le tourbillon de son histoire.
The Last Call, c’est le dernier appel d’un père à son enfant.
Quand le sol se dérobe.
Quand tous vos repères s’effondrent.
Une chute, violente.
Pour renaître.
Autrement.
Sans lui.
Et avec ce manque permanent.
Cette douleur.
Et pourtant.
Il faut continuer de danser.
Reste les rêves.
Et les souvenirs imperméables.
Admirez The Last Call, c’est comme assister à un chef d’oeuvre cinématographique, d’une contemporanéité avide.
The Last Call de Marion Motin (saison 23/24) – Alexandre Boccara © Julien Benhamou / OnP
Jusqu’au 12 octobre
Billetterie en ligne ci-dessous